Pocahontas

Publié le par marineetcoco

DATE DE PARUTION : 1995

DUREE : 77 minutes

RESUME :

En 1607, des colons débarque près du village de Powhatan et de sa fille Pocahontas. Ils commencent à creuser la terre e esperant trouver de l'or. Un jour, John SMith, fait la rencontre de Pocahontas et un amour nait entre ces deux etres. La guerre entre les indiens et les colons éclatent! Pocahontas et John Smith arriveront - ils à empecher cela?

LES PERSONNAGES :

Powhatan :

Grand chef indien respecté par tous.

Pocahontas :

Jeune indienne. Fille de Powhatan.

John Smith :

Colons anglais

Le gouverneur Ratcliffe :

Mandaté par le Roi d'Angleterre pour mener cette expédition.

Meeko :

Raton laveur. Grand ami de Pocahontas.

Flit :

Colibri. Grand ami de Pocahontas, il se prend pour son garde du corps.

LES CHANSONS ET LES PAROLES :

Au son calme des tam - tam

[Indiens]      

Hega hega ya-hi-ye-hega
Ya-hi-ye-ne-he-hega
Hega-hega-ya-hi-ye-hega
Ya-hi-ye-ne-he-hega

Au son calme du tam-tam
Vont et viennent les saisons.
Quand l'été danse et s'enflamme
C'est le temps de la moisson.

Dans l'eau claire de la rivière,
Brillent les saumons d'argent,
Semons au coeur de la terre
Les fruits d'amour du printemps.

Grand Esprit de l'univers
Maître de l'ordre et du temps
Garde le feu millénaire
Dans le coeur de tes enfants

C'est la voix de la raison,
Qui rythment chaque saison
En résonnant dans nos airs
Au son calme du tam-tam

Hega hega ya-hi-ye-hega
Steady as the beating drum
Hega-hega-ya-hi-ye-hega
Ya-hi-ye-ne-he-hega

[Chef Powhatan]

Quand la rivière lentement
Coule fièrement en chantant
En flânant au fil du temps
C'est qu'elle veut vivre très longtemps
Toujours calme
Au rythme lent des tam-tams

Au détour de la rivière

[Pocahontas]

Ce que je préfère dans les rivières
C'est que printemps, été ou hiver
Elles changent toujours d'humeur
Et de couleur

Mais combien de coeurs dans la nature
Ont rêvé d'aventures
En laissant fuir les années
Sans se demander

Au détour de la rivière,
Sera-t-il au détour de la rivière?
Voguent les flots
Ce voyageur de la mer

Sur ce bateau
Et toujours je crois
Toujours j'espère
Que cet inconnu viendra
Au détour de la rivière...

Pour moi, rien que pour moi
En badinant, le vent balade
Des torrents de rires en cascades
Les tambours nuit et jour
Résonnent d'amour

Mais celui que je voudrais choisir,
Pour construire l'avenir
Viendra-t-il de la terre
Ou du bleu des mers?

Au détour de la rivière
Au détour de la rivière
J'attends, j'espère
Qu'au détour de la rivière
Il sera là
Venant de la mer
Rien que pour moi
Dans un rêve de lumière
Au détour de la rivière
Au détour de la rivière
Faut-il éteindre la flamme
Dans le lit d'un fleuve calme
En épousant Kocoum
Pour ne plus rêver à cet homme?
Je voudrai tant m'évader, voyageur
Sur la rivière de ton coeur

Ecoute ton coeur

[Vent]             

Ay ay ay ya ay ay ya

[Grand - mère feuillage]

Que que natura
Un jour tu verras
Ton coeur chantera
Et tu comprendras

Tu entendras sa voix
Comme un cri au fond de toi
Un jour tu verras
Ton coeur chanteras

[Vent]               

Et tu comprendras
Ay ay ay ya ay ay ya

[Grand - mère feuillage]

Que que natura
Un jour tu verras
Ton coeur chantera
Et tu comprendras

Quand l'Esprit te parlera
Sa flamme s'embrasera
Alors, ce jour-là
Ton coeur comprendra

L'air du vent

[Pocahontas]

Pour toi, je suis l'ignorante sauvage,
Tu me parles de ma différence,
Je crois sans malveillance
Mais si dans ton langage
Tu emploies le mot sauvage
C'est que tes yeux sont remplis de nuages, de nuages.

Tu crois que la terre t'appartient toute entière
Pour toi, ce n'est qu'un tapis de poussières
Moi, je sais que la pierre, l'oiseau et les fleurs
Ont une vie, ont un esprit et un coeur.

Pour toi, l'étranger ne porte le nom d'homme
Que s'il te ressemble et pense à ta façon
Mais en marchant dans ses pas tu te questionnes
Es-tu sûr au fond de toi, d'avoir raison

Comprends-tu le chant d'espoir du loup qui se meurt d'amour?
Les pleurs du chat sauvage au petit jour
Entends-tu chanter les esprits de la montagne?
Peux-tu peindre en mille couleurs l'air du vent?
Peux-tu peindre en mille couleurs l'air du vent?

Courons dans les forêts d'or et de lumière
Partageons nous les fruits mûrs de la vie
La terre nous offre ses trésors, ses mystères
Le bonheur ici-bas n'a pas de prix.

Je suis fille des torrents, soeur des rivières
La loutre et le héron sont mes amis
Et nous tournons tous ensemble au fil des jours
Dans un cercle, une ronde à l'infini.

Là-haut, le sycomore dort
Comme l'aigle royal, il trône impérial
Les créatures de la nature
Ont besion d'air pur
Et qu'importe la couleur de leur peau.

Chantons tous en choeur les chansons de la montagne
En rêvant de pouvoir peindre l'air du vent
Mais la terre n'est que poussière
Tant que l'homme ignore comment il peut
Peindre en mille couleurs l'air du vent

Des sauvages

[Ratcliffe]   

Il n'y a rien à faire, avec ces païens d'Indiens !
C'est une race de vipère, de bons à rien !

Il faut tuer ces bêtes, d'une balle dans la tête,
Moi la vermine je l'extermine !

[Soldats]    

Tous des sauvages, des sauvages...

[Ratcliffe]    

Même pas des êtres humains...

[Soldats]    

Des sauvages, des sauvages...

[Ratcliffe]  

Chassons ces païens !
Puisqu'ils ne sont pas blancs,
Ils sont forcément méchants !

Battons les tambours de guerre !

[Soldats]     

Tous des sauvages, des sauvages...

[Tous]         

Commençons le carnage,
Battons les tambours de guerre !

[Indiens]      

Nous avions raison, l'homme blanc est un démon.
Le seul Dieu qu'il adore encore : c'est l'Or !
Et sous sa peau de lys,
Tous ses vices se glissent.

Il sème la mort sans remords !

Tous des sauvages, des sauvages...

Même pas des êtres humains...

Des sauvages, des sauvages...
Des tueurs sans coeur !

Ils ne sont pas comme nous,
Méfions-nous de ces voyous !

Battons les tambours de guerre !

Tous des sauvages, des sauvages...

Qu'ils aillent tous en enfer,
Au son des tambours de guerre !

[Ratcliffe]   

Soldats tous avec moi,
L'avenir est dans vos mains !

Qu'ils aillent tous en enfer,

LA JAQUETTE :

 

Publié dans tout et rien

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